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 Nous nous rencontrons enfin...

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L'Assassin

Le secret dévoilé
Votre clan: La France et, plus précisément, son fils aîné et son frère
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Jeanne d'Artois


Jeanne d'Artois
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♔ Pseudo : Lucrezia, ReineSoleil
♔ Age : 34
♔ Camp : La France, donc le Roi, mais plus précisément sa loyauté va à son frère, à sa mère et à ses enfants.
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MessageSujet: Nous nous rencontrons enfin... Nous nous rencontrons enfin... EmptyDim 6 Nov - 18:34


❝ Nous nous rencontrons enfin... ❞
- Jeanne & Catherine -
Un sourire peut créer une amitié. Un mot pour arrêter un conflit. Un regard peut sauver une relation. Une personne peut changer ta vie.
Arrivée à Paris pour une courte période, Jeanne était de passage dans le Palais de la Cité après avoir été voir les parents d'Aliénor de Comminges, fille des Comtes de Comminges, dans l'espoir de la voir épouser son fils aîné et devenir sa belle-fille. Mentalement, Jeanne se promit de ne jamais devenir comme sa belle-mère tout en jubilant de la savoir cloîtrée dans ses appartements au palais des Comtes de Foix... Malgré le goût amer que la mort de son époux lui avait finalement laissé.

Elle était donc de passage au palais royal dans l'espoir d'obtenir gain de cause vis à vis d'un potentiel mariage entre Aliénor et Gaston. Cependant, avec la mort du roi, elle se doutait que son affaire allait passer au second plan et en soupira d'énervement. Bien sur, elle comprenait que choisir une future épouse à son héritier était moins important que de trouver un pour la France mais justement! Plus le temps passait et plus elle voyait le pouvoir de Philippe de France et, à fortiori, celui de sa détestable femme: Jeanne II de Bourgogne prendre son essor.
Elle n'avait rien contre le frère de feu le Roi. Qu'il le devienne, cela lui était égal! Mais que sa cousine devienne Reine, cela lui hérissait le poil! Non contente d'avoir pu sortir de prison, bien déshonorée certes, elle allait pouvoir exercer sa vengeance en devenant Reine!...Et elle imaginait la tête que ferait Mahaut d'Artois si jamais une certaine Reine Jeanne venait à apparaître. Non seulement, sa marraine avait fait main-mise sur l'Artois qui revenait de droit à son frère, là elle pourrait, au travers de sa fille, façonner son pouvoir à travers la France entière!
La comtesse douairière de Foix préférait, encore, avaler du vinaigre que de voir ça. Elle se promettait déjà que si, telle chose devait se produire, elle ne serait pas au couronnement et qu'importe du scandale!
Aussi, priait-elle pour que Clémence de Hongrie, actuelle Reine douairière de France, veuve enceinte du précédent Roi le soit d'un fils. Elle préférait voir un enfant sur le trône plutôt que sa cousine!  
Quoiqu'il en soit, le fait qu'elle n'aie pas tout de suite l'autorisation pour un mariage prochain pour son fils aîné était certainement un mal pour un bien: elle pourrait demander au principal intéressé ce qu'il pense de sa jeune promise tandis que Bernard VII de Comminges et Laure de Montfort ferait de même avec leur fille. Jeanne pensa même que cela devait être déjà fait de ce côté là et elle en sourit: ça faisait toujours ça de fait.


Dans ses pensées, elle sursauta violemment quand un cri lui vrilla les oreilles. "Remise" elle mit ses mains sur son cœur pour calmer ses battements tout en reprenant sa respiration tandis que les hurlements continuaient. Nom de Dieu! Qui braillait comme ça dans le Palais de la Cité en période de deuil?!
Reprenant contrôle et sur ses battements de poitrine et sur ses ses respirations, elle prêta une oreille plus attentive à ce qui l'avait très violemment surprise et réalisa qu'il ne s'agissait pas réellement de hurlements mais de pleurs... Et en faisant plus attention, elle remarqua que c'était des pleurs d'enfants.
Elle ricana quand elle pensa qu'il s'agissait certainement d'une jeune mère qui n'arrivait pas à calmer son enfant. Cela la replongeait dans ses jeunes années de maternité. Ceci dit, pauvre enfant! Il était en train de s’époumoner et il n'allait pas tarder à voir rappliquer tout le palais.

Curieuse, elle se laissa guider par les cris et atterrit devant des appartements inconnus. En tout cas, les pleurs venaient de l'autre côté de cette porte...Elle était surprise de voir qu'il n'y avait pas d'attroupement de curieux devant cette dernière. Bref! Cela l'arrangeait.  
Sans se départir de son culot, elle ouvrit la porte en grand et sans frapper. Un peu trop fort car le battant de la porte alla embrasser furieusement le mur. Mais, au moins, on s’apercevrait de sa présence en ces lieux. En effet, ça ne manqua pas car la jeune femme présente, assise avec un bébé de plus ou moins un an dans les bras, sursauta.

A ses vêtements, elle remarqua que la demoiselle n'était pas la mère du jeune enfant dans ses bras. Ce dernier était trop bien habillé, contrairement à cette dernière. Cela devait être la nourrice....Et elle devait débuter dans le métier. La pauvre... Elle venait certainement d'avoir eu son propre enfant et elle l'avait quitté pour le bébé braillard d'un autre.
La mère de lait de l'enfant, la reconnaissant, se leva comme un piquet.
Madame la Comtesse la salua-t'elle Que puis-je faire pour vous?
Jeanne soupira et dit: que pourriez-vous faire pour moi? légèrement exaspérée, elle poursuivit: et bien, vous pourriez calmer l'enfant de votre maîtresse! J'ai failli avoir une crise cardiaque en l'entendant, et je ne suis certainement pas la seule! De plus, le palais est en deuil! Cela n'est pas convenable! Il va rameuter tout le palais ici et vous allez être punie si il ne se tait pas! surtout si la Reine l'entend!

La jeune nourrice, apeurée, dit: Je le voudrais bien Madame! Mais j'ai tout essayé! Je lui ai donné du lait, de la compote de pomme, j'ai changé sa couche et j'ai fait tellement de fois le tour de cette pièce que j'en ai mal aux pieds!
Jeanne soupira devant tant d'impuissance puis, par pitié pour cette nurse débutante, elle  tendit ses bras et dit: Donnez le moi, je vais essayer. Mes deux dernières sont encore jeunes, je dois encore avoir le coup de main
Hésitante, la servante hésita à lui donner le petit mais, épuisée et pas mécontente de pouvoir passer le relais, elle obéit. Tout doucement, le petit passa de bras en bras. Evidemment, il ne fut pas vraiment ravi de changer de place, surtout qu'il ne connaissait pas les bras de Jeanne.

Pourtant, la Comtesse douairière réussi sans mal à limiter le prochain hurlement de mécontentement du petit. Tout en le berçant, Jeanne lui parla tout en baissant de plus en plus la voix en fonction que le bambin baissait la sienne et cessait de pleurer. Elle murmurait des berceuses ainsi que des paroles rassurantes. Bientôt, l'enfant fini de pleurer et s'endormi paisiblement dans les bras de Jeanne. La nourrice et la Comtesse soupirèrent de contentement quand leurs oreilles furent enfin épargnées.
Mais comment avez-vous fait?
D'un sourire limite moqueur mais sincère, la Comtesse répondit: l'habitude, certainement! Je n'ai quasiment jamais fait appelle à des nourrices! Sauf quand mes devoirs de noble m'y obligeaient
La mère de lait soupira, battue: si seulement ma maîtresse pouvait prendre exemple sur v... tout en parlant, le regard de cette dernière se promena vers la porte d'entrée et elle pâlit Madame! Bon retour!
Jeanne sourit en pensant que la demoiselle s'apprêtait à "insulter" son employeuse et se tourna dans l'optique de s'excusez de son intrusion: Madame, veuillez m'exc.... elle s'arrêta et jura intérieurement (pas à voix haute: une femme de la noblesse ne jurait point!) en voyant qui lui faisait face: Catherine de Valois. La belle-fille ennemie de sa chère Mahaut de Châtillon. Toujours le fils de cette dernière dans ses bras, elle reprit vite contenance et de son ton habituel, elle dit: Catherine! Quelle surprise! J'ignorais que vous étiez à Paris.... J'espère que vous excuserez mon intrusion mais votre nourrice semblait légèrement dépasser!
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Les Maudits

Le secret dévoilé
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Catherine de Valois


Catherine de Valois
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MessageSujet: Re: Nous nous rencontrons enfin... Nous nous rencontrons enfin... EmptyDim 13 Nov - 19:01



Jeanne & Catherine
   Nous nous rencontrons enfin

J
'étais de retour à Paris depuis le mois d'avril environ. Généralement, je passais les mois d'octobre et novembre à Constantinople, je rentrais en France pour Noël et le Réveillon, puis repartais entre février et mars pour mes lointaines contrées. C'était pour moi, plus une corvée qu'autre chose d'aller là-bas. Mais je respectais néanmoins ce peuple qui avait hérité de moi comme impératrice. C'est pourquoi je faisais l'effort de m'y rendre. Mon époux y restait plus longtemps que moi. Il y est encore d'ailleurs actuellement. Pauvre Philippe, il doit fondre comme glace au soleil. Les temperatures sont si extrêmes là-bas. Etant très sensible à la chaleur, il est vrai que je préférais rentrer en France durant les moins d'été, il y fait bien assez chaud.

Chaque matin, lorsque je me réveille, trempée de sueur, je me dis que je souhaiterais passer ma journée en chemise, mais il m'est impossible de réaliser ce souhait. mes dames de compagnie affluent et en moins de deux heures, je sur parée de mille atours en correspondance au rang que j'occupe. Et durant toute la journée je m'évente et me plaint de cette chaleur torride qui finira par avoir ma peau.

Aujourd'hui n'était pas un jour différent des autres, il faisait chaud, encore. Mon dieu quand allait-il enfin pleuvoir un peu ! Vêtue comme il se devait, je quittais mes appartements, accompagnée de Salmon, toujours fidèle, me suivant comme une ombre. Je laissai le soin de mes affaires, autrement dit de mon rejeton à sa nourrice qui en avais la charge, jour et nuit sans aucune exception. En effet je ne voyais Robert qu'en de très rare occasion, je trouvais qu'il ressemblait bien trop à son père et cela me déplaisait, en plus c'est un garçon alors que j'aurais aimé avoir une fille, juste dans le but de décevoir mon époux. Mais non ! En plus d'avoir eus ce qu'il voulait lors de la nuit de noces cela c'est concrétisé et en apprenant, neuf mois plus tard que c'était un garçon ce goujat était le plus heureux des hommes. Rien que d'y repenser, cela me donna un violant haut le coeur.

J'avais l'intention de rendre visite à mon parrain je m'était donc rendue à son adresse, toujours suivie de mon fidèle compagnon qui était là pour mon bon plaisir et ma protection. C'est à Salomon que je donnais tout l'amour que j'avais car, selon moi, il est le seul être en ce monde à le mériter.

J'étais de retour au palais dans l'après-midi, ravie de mon entrevue avec Robert de Courtenay, qui était non seulement mon oncle mais aussi mon parrain, de plus je le considérais comme un père, qui qu'il soit tout de même à l'origine de mon mariage désastreux, mais étrangement, je me dis que si cela avait été mon père qui avait choisi, je serais tombée plus mal, car dans l'absolu Philippe est plutôt gentil.

Pourtant, dans les couloirs du palais, j'entendais une bébé brailler. Mon bébé, cela ne pouvait être que le mien. La nourrice allait m'entendre c'est certain si elle n'est pas capable de calmer un nourrisson qu'elle aille au diable ! Je relevai mes jupes pour me permettre de marcher plus vie et aussi d'avoir un peu d'air. Salomon me doubla et couru jusqu'à mes appartements en grattant contre la porte et grognant. Le temps que j'arrive, les braillements avaient cessé, enfin un peu de calme Seigneur ce bébé allait me rendre folle et s'il continuait j'étais prête à l'étouffer dans son sommeil. J'entrai alors en poussant la porte, surprenant la nourrice les bras ballant et Jeanne d'Artois avec Robert dans les bras ?! Salomon arriva en venant renifler la nourrice tout en grognant, cherchant l'embrouille qui avait du se passer ici.

« Hazel ! C'est donc ainsi que vous travaillez ? Il ne me semble pas avoir accepter de vous payer à ne rien faire ! »


Dis-je d'une voix très froide avant de me tourner vers la comtesse d'Artois qui tenait mon enfant, mais cela me laissait indifférente qu'elle le tienne ou le jette par le fenêtre cela m'était égal je le détestais.

« Madame la Comtesse. » Dis-je légèrement moins méchamment. « Je suis à Paris depuis avril déjà voyez-vous mais mon père et ma belle-mère éclipsent tout le monde à la cour » Je pose mes poings sur mes hanches, « Je vois je suppose donc qu'il me faut changer de nourrice si le simple fait de calmer un nourrisson est trop dur pour elle ! »

WILDBIRD
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L'Assassin

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Jeanne d'Artois


Jeanne d'Artois
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MessageSujet: Re: Nous nous rencontrons enfin... Nous nous rencontrons enfin... EmptyDim 13 Nov - 21:08


❝ Nous nous rencontrons enfin... ❞
- Jeanne & Catherine -
Un sourire peut créer une amitié. Un mot pour arrêter un conflit. Un regard peut sauver une relation. Une personne peut changer ta vie.

« Hazel ! C'est donc ainsi que vous travaillez ? Il ne me semble pas avoir accepter de vous payer à ne rien faire ! »
L'arrivée de Catherine de Valois l'avait un peu troublée mais pas assez pour lui faire perdre sa contenance légendaire qu'elle tenait de son royal ancêtre. De toute façon, le trouble était partagée: la jeune impératrice et princesse ne s'attendait certainement pas à la voir au Palais royal...Et, encore moins, dans ses appartements. La plus "troublée" dans la pièce en ce moment était sans nulle doute Hazel, la jeune nourrice de Robert.

Elle observa le chien de l'impératrice de Constantinople venir renifler les jupons de cette dernière qui en eu un mouvement de recul. Jeanne devinait sans mal que la très jeune impératrice devait l'avoir mainte fois menacée en laissant son chien lui aboyait dessus. Catherine se tourna vers elle et la première chose qui lui frappa au visage fut de deviner que la belle-fille de Mahaut n'était pas frustrée de voir son bébé calme dans les bras d'une autre. Jeanne se souvenait bien que si il y a une chose qui l'énervait, c'est qu'une autre aie un de ses enfants dans les bras. Les seules femmes qui pouvaient étaient très limitées en nombre: ses cadettes, sa mère et sa chère cousine qui servait de mère par alliance à la jeune femme qui lui faisait face. « Madame la Comtesse. » Les deux femmes se saluèrent d'une révérence - enfin, pour le peu qu'on arrivait à faire un salut correct avec un enfant en bas-âge dans les bras. « Je suis à Paris depuis avril déjà voyez-vous mais mon père et ma belle-mère éclipsent tout le monde à la cour »
Jeanne lui répondu, calmement: en effet, ma cousine ne m'a rien dit. J'ignorais que vous étiez revenue de Constantinople...Le voyage s'est-il bien passé?   elle ajouta: vous êtes revenue en des temps bien sombre, Madame! Le Roi est mort et a laissé notre pauvre reine enceinte! d'un air un peu théâtral. Les rois mourraient...C'était bien connu. Il n'avait de divin que leur charge mais, pour le reste, ils étaient des hommes comme les autres. Nous sommes nés de la poussière...On retourne à la poussière, ainsi était les choses, ainsi le sont-elles et ainsi le seront-elles à jamais!

« Je vois je suppose donc qu'il me faut changer de nourrice si le simple fait de calmer un nourrisson est trop dur pour elle ! »
Hazel pâlit en entendant sa maîtresse a deux doigts de la congédier. Jeanne soupira. Catherine espérait-elle la voir culpabiliser? Puisqu'elle ne pouvait pas atteindre Mahaut et Charles, les Comtes de Valois, voulait-elle se défouler sur leur cousine et précieuse amie? C'est vraiment mal la connaitre. Cependant...Une chose la chiffonnait. Faisant mine de vouloir reprendre la parole, elle se racla la gorge et empêcha, d'un signe de main, de reprendre le petit prince de ses bras. Sans attendre, elle dit: Si tel est votre souhait, Madame...Renvoyez-la!
Elle du se faire violence pour ne pas sourire en voyant la nourrice à deux doigts de tomber dans les pommes. Mais elle n'avait pas fini: Mais... faisons durer le plaisir! Il y a des choses que même une nourrice ne pourra pas remplacer. chez un bébé.. Elle prit une dernière pause tout en prenant place sur un large fauteuil: le toucher, l'odeur et la voix de sa mère!

Elle savoura les airs surpris des deux femmes. En effet, si il y a une chose qu'elle n'avait jamais compris; c'était le détachement de certains parents, de certaines mères, de leurs enfants. A la minute où elle avait su qu'elle attendait un enfant, et même si elle l'avait engendré avec quelqu'un qu'elle n'aimait pas d'amour véritable, elle avait su que c'était le rôle qu'on lui destinait. Que c'était le plus beau cadeau qu'il soit, que Dieu lui aie faite. Ce sentiment s'était accru quand elle avait réalisé, pour sa deuxième grossesse, que la fille qu'elle avait mise au monde était la fille de son bien aimé!
...Alors, non, Jeanne d'Artois avait du mal à concevoir qu'une mère pouvait ne pas aimer son enfant. Elle poursuivit: Voyez-vous, Catherine, cela va peut-être vous sembler étrange... dit-elle de manière à ce que Robert puisse voir sa mère mais un enfant peu reconnaître sa mère. Même si il est aussi jeune. Le bruit de ses pas. Le son de sa voix. Son odeur. il a tout enregistré pour la reconnaître. La première partie de son "plan" marcha: le petit Robert ouvrit ses yeux et tend ses petits bras boudinés vers sa génitrice. Deuxième partie: elle se tourna vers Hazel. N'est-ce pas Hazel? L'enfant que vous avez laissé chez vous pour vous occuper du prince ne vous reconnait-il point? Hazel, surprise, répondu: Et bien...Oui, Madame. William me reconnait! Jeanne sourit: vous voyez... J'ai eu six enfants...Mais vous le savez déjà n'est-ce pas? Nos familles sont assez proches! Enfin! J'ai appris une chose c'est que le fruit de nos entrailles sera la seule chose qui nous aimera pour l'éternité. Qui nous restera fidèle...Pour peu qu'on lui donne la place qu'il mérite.
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