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| Agnès ♔ Let the skyfall when it crumbles, we will stand tall and face it all together... | |
| Auteur | Message |
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| Sujet: Agnès ♔ Let the skyfall when it crumbles, we will stand tall and face it all together... Jeu 6 Oct - 17:32 | |
| Pseudo Web : Gipsy Age : Canonique, bon ok j'exagère mais mon âge mental, il vaut mieux pas que vous le sachiez. XD Où avez-vous trouvé LRM ? : J'ai été mise dans la confidence au moment de sa création et j'y ai joué Isabeau de Navarre un temps. Comment le trouvez-vous ? : Bôoooooooooooooo ! Votre personnage est-il historique ou fictif ?Historique, Philippe d'Aunay a bien été marié avec Agnès de Montmorency, mais il y a pas mal d'éléments inventés vu que l'on ne sait pratiquement rien d'elle si ce n'est son ascendance et sa descendance. Crédits images : Mari-Jane
Agnès de
Montmorency " Qui n’est jamais tombé n’a pas une juste idée de l’effort à faire pour se tenir debout.”Age : 26 ans Date & Lieu de naissance : Aux alentours de 1290 à Conflans sur les terres de son père, Evrard de Montmorency. Origine : Descendante en ligne directe par les femmes de Hugues Capet, de Louis VI le Gros, des comtes de Soissons et des puissants barons de Laval, elle est donc tout ce qu'il y a de plus français, si ce n'est pour une minime part de sang anglais par son aïeule Alix de Dreux. Situation amoureuse : Veuve de Philippe d'Aunay et malheureusement la cocue la plus renommée du Royaume de France. Métier : Dame de Moussy le Neuf et du Mesnil, un maigre héritage pour une dame de son importance mais au moins le roi de Fer ne lui a pas ôté ça. Allégeance : Avant tout celui de sa famille et de ses enfants, plus anciennement dans l'ombre de son mari elle était un soutien considérable des Valois mais à présent il se pourrait bien qu'elle se tourne vers les Evreux... Groupe : Les Maudits Caractère : Agnès bien que consciente de l'importance de ses racines et de son sang était de ses femmes avec le coeur sur la main. Jamais désagréable, encore moins méprisante envers les petites gens comme envers les membres de la cour. Persuadée que chaque être humain a une parcelle de bonté en lui, elle tentait toujours de faire ressortir ce bon côté par sa douceur et sa fraîcheur. Elle était cette bonne épaule, cet ange innocent, presque naïf et bon nombre de personnes se sont confiées à elle. Pourtant aujourd'hui, ce sont celles-là même, celles qu'elle a un jour réconfortées qui lui tournent le dos. Aussi, après une période d'abattement qui a suivi la perte de son mari et de son honneur, elle s'est faite froide, méfiante, dure même jusque dans sa voix. Son naturel jovial et inventif, elle si versée sur le plan littéraire s'est clairement évaporé, elle ne l'a préservé que dans la sphère familiale ou avec les gens simples du peuple. Jamais plus, elle ne se montrera faible, jamais elle ne montrera qu'elle peut être blessée. Désormais, lorsque vous la croiserez, vous ne pourrez pas douter de sa force de caractère, ni de son énergie, ni encore de sa colère sourde. C'est bien simple, elle est métamorphosée en une créature étrange, au regard éteint et aux actions bien calculées que l'on peut très difficilement deviner. Chaque jour est un terrain de combat à traverser où elle reste toujours sur ses gardes, les yeux bien ouverts cette fois sur la pourriture d'âme de tous ceux qui l'entourent. Désillusionnée et amère, c'est le moins que l'on puisse dire ... Avatar : Meryem Uzerli Que pensez-vous de la malédiction ? Si Agnès daigne un jour se confier à vous, vous vous apercevrez bien vite que vous avez affaire à une femme persuadée d'avoir été maudite par le sort, le jour de son mariage... Alors de là à croire que le Diable ou le Destin se tapit derrière la mort de deux Rois de France et d'un Pape, il n'y a qu'un pas ! Surtout lorsque l'on a eu un oncle templier dans la famille. Ne murmurait-on pas chez les Montmorency que celui-ci avait quelque chose de bien particulier, une aura dont on ne savait pas si elle était bénéfique ou néfaste. Il l'impressionnait fortement dès qu'il la fixait de son regard d'aigle, comme capable de sonder son âme entière. Alors que dire du Grand Maître, Jacques de Molay ? Ses mots du haut de son bûcher résonnent encore si fortement en Agnès que ça lui glace le sang. Oui elle appréhende énormément l'avenir du Royaume et songe aux cataclysmes qui pourraient bien advenir... Qu'êtes vous prêts à faire pour votre camp ? La petite biche ou l'oie blanche d'hier n'est plus, c'est une louve en devenir dont on ne mesure pas assez le danger à qui l'on aura bientôt affaire. Et son allégeance se limite désormais aux êtres qui lui sont le plus chers, à ceux qui ne la décevront pas, en somme son père, ses frères et sœurs ainsi que ses quatre enfants bien entendu. Sa chair et son sang, c'est tout ce qui lui reste en plus de sa dignité même si c'est celle d'une femme bafouée. Elle préservera ces trésors là jusqu'à la mort, quel qu'en soit le prix, même si c'est celui de la trahison ou de la mort. Entière ? Oui ! Toujours ! Est-ce que le juste milieu existe dans la fosse aux lions ? D'ailleurs si elle décide de soutenir des clans à la Cour, ça ne sera plus par amitié puisque ce sentiment là est apparemment balayé dès que l'on donne et ne représente rien, elle se rangera du côté du plus offrant, à celui qui offrira la meilleure protection, les meilleures compensations à sa famille.
Dernière édition par Agnès de Montmorency le Mer 12 Oct - 14:28, édité 25 fois |
| | | | Sujet: Re: Agnès ♔ Let the skyfall when it crumbles, we will stand tall and face it all together... Jeu 6 Oct - 17:32 | |
| Mémoires d'une femme
bafouée. A mes très chers enfants, Vous à qui j’ai épargné l’atroce spectacle, car malheureusement ça en était un, des corps mutilés de votre père de votre oncle Gauthier sur l’échafaud, je ne peux malgré tout faire autrement que de vous faire le récit de leur condamnation et des événements qui l’ont précédée. Pourquoi me direz-vous ? Tout simplement car tôt ou tard, une langue venimeuse se plaira à vous en donner tous les détails sordides. Tandis que votre mère garde l’espoir d’avoir assez de délicatesse pour ne pas que cette souffrance vous soit trop pesante. Sachez tout d’abord que malgré mes propres ressentiments envers votre père Philippe, il vous a aimés et choyés comme le plus tendre des hommes. Je garde dans certains coffrets du château de Conflans, la dernière lettre qu’il vous a adressée et les objets qu’il vous a légués. Vous qui êtes trop jeunes encore pour conserver son souvenir, ne laissez jamais personne vous ôter l’affection que vous avez eu un jour pour lui ou salir celle qu'il a eue pour vous. Gardez également à l’esprit que ses fautes aussi graves qu’elles aient été ne méritaient pas le supplice qu’il a subi et que désormais c’est avec Dieu qu’il s’en accommode. N’ayez enfin jamais honte de lui…Moi, votre malheureuse mère, je porte déjà assez ce fardeau sur mes épaules depuis plus de deux ans... Pourtant, tout avait commencé par des festivités. La reine Isabelle, fille de notre roi nous faisait l’honneur de sa visite et elle que l’on disait si malmenée en Angleterre semblait heureuse de ses retrouvailles familiales. Mon bonheur me paraissait aussi complet que le sien, moi qui me relevais de ta naissance ma petite Marguerite, je ne songeais plus qu’à festoyer. Je n’ai jamais autant dansé que ce soir-là, pas même le jour de mes noces. Quelle ironie, lorsque j'y songe ! Hélas, cet avant-goût du paradis devait laisser rapidement place à l’enfer. Quelques jours après l’arrivée de la reine, nos princesses riantes comme bien souvent se trouvaient dans leurs appartements, lorsque le roi entra chez elles. Il n’en ressortit plus que le visage fermé, plus fermé que de coutume et soufflant ses ordres à l'oreille du capitaine de ses gardes. Personne, pas même les époux des princesses ne pouvait accéder aux chambres où ses brus étaient désormais recluses. J’étais avec votre bien-aimé grand père qui en tant que Grand Echanson du roi se tenait tout près de lui à Pontoise, lorsque tout ceci arriva. Comment aurait-on pu se douter que notre destin se scellait ? Tout d’abord, nous ne comprîmes guère, nous avions certes conscience qu’un événement grave avait eu lieu mais ne pouvions questionner. Un secret d’état, pensez donc ! Puis nous apprîmes l’arrestation de Philippe et Gauthier. Je m’affolais ! Il faut dire que notre roi n'était guère connu pour sa miséricorde, votre grand oncle Guillaume avait été de ses templiers qui s'étaient opposés par les armes au moment de l'arrestation du Grand Maître. Il en était mort. Allaient-ils subir un sort semblable ? Que leur reprochait t-on ? Ce fut Guillaume de Nogaret qui nous l’apprit face à notre insistance : malheureusement la torture leur avait été imposée et ils avaient avoué avoir eu des liaisons coupables avec les princesses Marguerite et Blanche. En guise de preuves, des aumônières passées des mains princières aux leurs ... Votre mère a toujours été dotée d’une bonne santé, tout comme toi mon petit Pierre mais je m’évanouissais pour la première fois face à l’horreur de la situation. Comment cet homme, l’homme que j’aimais plus que ma vie, au point d’avoir fait aux yeux de ma propre famille une mésalliance, pouvait-il m’avoir trahie de la sorte ? Je me souviens encore de cette petite église de Moussy dont Philippe était le seigneur et où nous nous sommes unis, loin des yeux, en présence de braves paysans en guise de témoins. J'allais sur mes seize ans. Les miens n'avaient appris la nouvelle que quelques semaines plus tard, lorsque enceinte, ils ne pouvaient faire autrement que d'accepter notre union. Avec le temps, ils avaient malgré tout fini par l'apprécier et l'accepter, je le sais. Qu'importait qu'il soit un chevalier normand sans d'importantes terres, Philippe avait su brillamment devenir écuyer de Monseigneur de Valois et Gaultier celui du comte de Poitiers. Jamais je n'aurais pu penser qu'il bafoue ainsi notre honneur et notre nom. Mais ce n'était que le début du cauchemar ... Mon père fut chassé de sa fonction, suspecté d'avoir peut-être eu vent des agissements de son gendre ? Le roi en avait eu quelques scrupules disait-on mais sa décision n'en était pas moins implacable. On murmurait également tout haut, que la princesse Jeanne, fille de notre héritier Louis n'était autre que votre soeur. Pauvre enfant, je ne peux que la regarder étrangement à chaque fois que nous nous croisons et ce encore aujourd’hui. Tout comme elle d’ailleurs… Si jeune et si consciente déjà du drame qui l’entoure. J’aimerais la plaindre puis le cruel soupçon qu’elle peut être le fruit de l’infidélité de Philippe revient me tourmenter… Ne me jugez pas égoïste mes chers enfants, surtout toi mon Jean qui a toujours été le plus proche de ton père, si aujourd’hui je m’apitoie quelque peu sur mon sort, ce jour là je ne pensais qu’à lui, qu’à vous seuls, j’ai rassemblé malgré les regards et les rires naissants, mes maigres forces pour me jeter aux pieds du roi. Hélas si la puissante Mahaut d’Artois n’avait pu attendrir le roi sur le sort de ses filles, je n’avais guère plus de chances … Le roi me chassa donc, son regard d’aigle plus impitoyable que jamais. - Quittez la cour pour quelques jours dame Agnès, nous vous ferons savoir notre volonté plus tard, m’ordonna t-il. Ce que je fis. Tremblante chaque heure, chaque minute, je ne trouvais l’apaisement qu’avec vous. J’écrivis à mes amis pour obtenir des nouvelles, je ne reçus aucune réponse. Je rendis visite à d’autres, leurs portes se fermèrent. Nul ne voulait prendre le risque d’être aperçu en ma compagnie. Je ne pouvais pas concevoir que leur amitié pour moi pouvait être si vite oubliée, moi à qui certains s’étaient ouverts ou que j’avais aidé en faisant appel à l’influence passée de mon père. Leur attitude me blessa cruellement, beaucoup agissaient ainsi par avidité, par crainte de perdre ce qu’ils avaient acquis. A l'image du clan Valois à qui j'avais donné la plus belle des loyautés depuis des années à l'image de Philippe qui était l'écuyer du comte Charles. Quelle déception ! Quelle désillusion ! Je ne souhaiterais pas à mon pire ennemi de devenir soudain une pestiférée ! C’est dans le malheur que l’on juge de la sincérité des sentiments d'autrui, mes chers enfants ! Ne donnez votre confiance à quiconque, surtout pas toi mon petit Philippe, mon aîné que je devine aussi bon que je l’ai été. Vous ne pourriez qu'en ressortir meurtris ! Privilégiez désormais la stratégie, celle qui vous assurera de regagner votre place à la cour, une place perdue injustement. Tous les sacrifices sont bons dès qu'il s'agit de votre nom. S'il est sali aujourd'hui, rendez-le éclatant demain. Votre mère s'y emploie déjà, peut-être le jeu est-il dangereux mais les scrupules et l'honnêteté ne paient jamais, ce monde appartient aux plus forts. Pour que vous y comptiez un jour, déguisez vos sentiments même les plus profonds ... Personne ne mérite que l'on soit accablé de tristesse jusqu'à en vouloir mourir, non personne ! J'ai moi-même cessé de pleurer et ne garde plus aucun de ces petits morceaux de papiers que l'on nomme mouchoir, depuis ce 19 avril 1314. Ce jour-là, votre père et votre oncle sont montés sur l'échafaud et j'ai vu jusqu'où peut aller la cruauté d'un monarque. Le roi de Fer mérite bien son surnom et je peux le dire aujourd'hui, si Jacques de Molay ne l'avait pas maudit, sans doute l'aurais-je fait, tant je l'ai haï, tant je le hais encore. Des heures durant, on brisa leurs corps jusqu'à ce que mutilés jusqu'à l'intimité, ils n'aient plus rien d'humain. Pas même leur visage. Puisque le déshonneur avait été public, la sentence fut publique et je fus priée d'y assister en tant qu'épouse. Très à cheval sur les principes matrimoniaux, Philippe IV avait insisté que je respecte mes devoirs par ma présence jusqu'à ce que la mort nous sépare. Je me retenais très difficilement de vomir et si j'osais fermer les yeux, leurs hurlements me les faisaient rouvrir. Les princesses Marguerite et Blanche aussi durent supporter ce supplice avant d'être conduites à Château Gaillard, leurs superbes chevelures rasées et vêtues de robes de bures. Si leur déchéance était complète, au moins étaient-elles coupables, la mienne fut semblable mais n'étais-je pas innocente ? Regagnant humiliée et bafouée les terres de Moussy que la couronne n'avait pas osé m'enlever, nous y restâmes avec votre grand-père que quelques mois. Je crus sombrer dans la démence, ne pouvant même plus nous chauffer ou vous nourrir correctement, nous vivions que sur l'héritage laissé par votre aïeul qui avait combattu durant les croisades de notre Sire Saint Louis et avait rapporté des richesses de l'Orient. Mais sans autres revenus et avec cette affreuse fièvre que tu as attrapé ma petite Marguerite, nous dûmes prendre des crédits auprès des banquiers lombards et avons bien du mal à les rembourser encore à ce jour. Combien de terres avons-nous dû sacrifié pour les calmer ! Heureusement il nous restait Conflans. Bien plus grand pour vos jeux, mes chers enfants. Bien plus ensoleillé. Quoi que ce jour de novembre où notre roi mourut le fut pour moi comme jamais, malgré toute la grisaille et la pluie battante dont ce mois est porteur. Alors comme libérée d'une injustice, celle de savoir l'assassin de votre père et de votre oncle vivant, je sortais peu à peu de mon état de tristesse. Comme père m'avait toujours trouvé un certain talent littéraire, j'écrivis des poèmes. Je réussis à les vendre à des troubadours de renom dès que je les savais de passage afin qu'ils les chantent en Bourgogne, en Bretagne ou encore en Normandie chez les grands seigneurs qu'ils régalaient de leur voix. Tout le mérite leur en revenait bien sûr, mais satisfaits de l'effet produit, ils revenaient et je gagnais ainsi un assez confortable pécule d'écus d'or. J'apprenais également aux jeunes filles pauvres de la paroisse à lire, à écrire et à broder. Cela m'occupait et parfois j'arrivais à oublier ... Certes la vie de cour où j'avais toujours baignée me manquait, mais tant que le roi Louis X à qui ma présence aurait trop rappelé son état de cocu vivrait, je ne pouvais y retourner. On disait que sa nouvelle épouse Clémence qu'il avait pu faire monter sur le trône après la mort orchestrée de Marguerite le rendait moins exécrable, mais sans doute n'aurait-elle jamais le pouvoir de le faire céder là dessus. Dieu ou le Diable m'entendait-il lorsque j'en venais à espérer qu'il passe outre ? Toujours est-il qu'il y a plusieurs mois, le sort m'a été enfin favorable. Louis X après une partie de jeu de paume s'était senti mal. On prétend qu'il a été empoisonné, cette méthode d'expédition définitive ne me surprendrait absolument pas. La lâcheté et le meurtre pourraient être la devise de la cour. Je laissais passer les funérailles à Saint-Denis et les quelques remous dus aux questions sur la régence, puis après plus de deux ans d'exil imposés par les convenances, je regagnais les rangs des courtisans la tête haute. Beaucoup doivent me trouver bien changée. Je croise depuis une multitude de regards, surpris, apitoyés ou outrés. Comment dans ma situation puis-je prétendre revenir, moi qui devrais au contraire m'enterrer sous le poids de l'humiliation ? On me plaint et on me juge. Curieux mélange. Je me promène pourtant dans les couloirs, feignant de ne pas m'en souciller. Je me promets, je vous promets de rendre votre blason, celui des d'Aunay plus flamboyant qu'il ne l'a jamais été. Rien ne saurait m'arrêter. Et puisque les Valois ne semblent guère heureux de me voir, peut-être que les Evreux le seront davantage, je connais certaines choses qui pourraient leur être utiles après tant d'années passées dans le clan du comte Charles. Advienne que pourra donc, mais souvenez-vous toujours mes chers enfants, que tout ce que je fais, je le fais pour vous. Si je réussis, vous me devrez la vie une seconde fois. Car est-ce qu'une vie bafouée peut-elle être une vie ?
Dernière édition par Agnès de Montmorency le Ven 14 Oct - 15:44, édité 13 fois |
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| Félicitations ! Quel personnage ! Cette Agnès promet beaucoup de bonnes choses, je trouve que c'est une excellente idée de jouer une épouse de Philippe d'Aunay, il y avait que toi pour faire un aussi excellent personnage ♥ Te voilà officiellement maudit par Jacques Molay, le dernier grand maître de l'ordre du Temple ! Il va donc falloir t'armer de courage et de volonté pour braver cette malédiction. Pour se faire, tâche de tisser des liens et des rps avec les autres maudits grâce à ta fiche de liens et de rps ( ICI). Tu n'es en effet pas la seule personne maudite des environs, les autres personnes l'étant seront ravies de venir se lier avec toi ! De plus, armes-toi de prudence en ces contrées car une guerre fait rage en ce moment ! Les informations concernant celle-ci sont rassemblées par ICI. Chacun, qu'on soit paysan ou puissant seigneur, est concerné et se doit d'être au courant ! D'ailleurs, voici ta étendard pour cette guerre ! Libre à toi de l'afficher fièrement devant tous ! (Même s'il est vrai que c'est à tes risques et périls !) Propriétaire d'une immense demeure ou d'une modeste habitation dans une grande ville ? Qu'à cela ne tienne, tous les maudits ont le droit à un logement ! Il suffit juste de le demander aux secrétaires des souverains de ce royaume par ICI. Ils tâcheront de répondre à votre demande le plus rapidement possible. Qu'entends-je ? Tu recherches des membres de ta famille, ton grand amour ou ta némésis ? Gardes ton calme manant et rédige un scénario par ICI. Tes informations sont peu fournies au sujet de cette personne recherchée ? Point de panique non plus et lance un avis de recherche peu précis par ICI. Enfin, n'hésites point à te rendre dans le flood et dans les jeux que tu trouveras par ICI. Que ce soit pour souffler dans l'élaboration des complots ou tout simplement pour mieux s'intégrer sur le forum, chacun sait que rien n'égale une partie de dé après une journée de labeur ! Te voilà informée de toutes les informations importantes de ce royaume. Profites de ton séjour en ce lieux et n'hésites pas à demander audience par mp aux souverains du royaume des Rois Maudits si tu venais à avoir besoin d'informations. Bon jeu à toi ! |
| | | | | | | | | | | | Agnès ♔ Let the skyfall when it crumbles, we will stand tall and face it all together... | |
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